Category Archives: Amour

26Mar/16
En commun

Ce qu’ils avaient en commun

E-73 Récemment (pour terminer), un homme et une femme, mari et femme, étaient en train de se séparer. Et ils ont essayé de se réconcilier. Ils sont allés consulter un psychiatre pour voir s’il pouvait rapprocher leurs idées. Mais il n’a pas pu. Ils ont recouru à tout ce qu’ils pouvaient imaginer pour essayer de rester ensemble, mais ils ne faisaient que se quereller et étaient continuellement divisés. Et ils ne pouvaient pas se supporter, et ils ne pouvaient pas supporter l’un la présence de l’autre, et ils ont continué à se quereller. Ils ont donc décidé de divorcer. Alors ils ont payé le service d’un avocat pour obtenir le divorce. Et il a dit : « Eh bien, maintenant avant de faire cela, a-t-il dit, nous allons vendre la maison. » Et il a dit : « Vous feriez mieux tous les deux d’aller vous partager le reste avant que le divorce vous soit accordé et que la maison ne soit vendue. »
E-74 Le mari et la femme sont donc partis ensemble, ils sont allés à la maison. Puis ils sont entrés au salon, et elle a dit : « Je vais prendre ceci. » Et lui a dit : « Je vais prendre ceci. » Et ils se sont querellés, et ils se sont fait des histoires et ils ont continué à se traiter ainsi. Quelques instants après, ils ont dit : « Eh bien, je te donnerai ceci si tu acceptes de prendre ceci. » « Très bien ! » Cela a marché pendant un instant. Ensuite ils sont allés au salon et à différents endroits, dans la cuisine et dans la chambre à coucher. Ils se sont partagé le reste.
E-75 Puis finalement ils se sont rappelé qu’il y avait des choses au grenier. Alors ils sont montés au grenier et ils ont sorti la vieille malle. Puis ils ont commencé à faire sortir les différents effets, disant : « Tu peux prendre ceci, et tu peux prendre ceci. » Puis finalement, leurs yeux sont tombés sur une certaine petite chose et ils se sont tous deux saisis de cela. Ensuite ils se sont regardés. Qu’était-ce ? Une paire de petites chaussures blanches qui appartenaient à leur bébé qui était mort. Il était une partie de tous les deux. Là, avec leurs mains serrées comme cela sur la chaussure du bébé… A qui appartenait-elle réellement ? A qui était-elle ? Elle leur appartenait à eux deux. Ils avaient des choses en commun. Quelques minutes après, comme ils se regardaient l’un l’autre, les larmes ont commencé à couler sur leurs joues. Qu’est-ce ? Ils pouvaient partager tout le reste, mais quand ils en sont arrivés à ce qu’ils avaient en commun, l’enfant, et qui était au ciel, alors la querelle était terminée. Quelques minutes après, ils étaient dans les bras l’un de l’autre ; le divorce était une affaire oubliée. La paix s’était rétablie.
E-76 Et, frères, permettez-moi de vous dire ceci ce soir. Nous ne voulons pas que vous vous joigniez à une église. Mais je vous demande ceci ; il y a une chose que nous avons en commun : c’est Jésus-Christ. Il nous est commun. Nous ne pouvons pas tous être des baptistes ; nous ne pouvons pas tous être des méthodistes ; nous ne pouvons pas tous être des unitaires, ou des trinitaires, ou quoi que ce soit. Nous ne pouvons pas être cela. Mais il y a une chose que nous avons en commun. C’est le don du pardon de Dieu, Son Fils, Jésus-Christ. Nous avons toutes choses en Lui. Mais cela est la première chose qu’il nous faut accepter. Ensuite, nous pouvons avoir les autres choses quand nous acceptons le pardon que Dieu nous a offert. Et cela ne se fera pas au moyen de notre système d’instruction, au moyen de notre système dénominationnel, mais ce sera par le Sang de Jésus-Christ. Nous pouvons tous nous rencontrer sous la croix et être un et avoir des choses en commun. Croyez-vous cela ? Inclinons la tête juste un instant pendant que nous prions.

« ETRE PARDONNE » prêché par Fr Branham le 28Octobre 1963, Traduction SHP

20Mar/16
William Marrion Branham

Pardonnez…

36        Ce n’est pas l’homme. Quand vous voyez une personne comme ça, n’allez jamais penser que c’est l’homme; c’est le démon, qui est dans l’homme.

Or, ce fou furieux, qui était sur l’estrade ce soir-là, qui voulait me tuer, là-bas, dans l’Oregon. Cet homme, je, quand il est venu vers moi, au lieu de… il m’avait craché au visage et m’avait traité de “serpent dans l’herbe” devant près de dix mille personnes; eh bien, ce n’était pas cet, ce n’était pas l’homme. Lui, c’est un homme qui mange, qui boit, qui dort, qui a peut-être une famille, et qui aime, et–et qui est comme vous et moi. Mais c’était ce démon en lui qui faisait ça. Voyez?

37        Et on ne chasse jamais un démon par une mauvaise attitude. Il faut de l’amour pour le faire. L’amour est la force la plus puissante du monde. Or, si vous remarquez, un démon, c’est toujours de la haine. La haine vient du diable. Et quand des gens haïssent quelqu’un, souvenez-vous, c’est un démon terrible, ça : d’avoir du mépris ou de l’aversion. Il ne faut pas faire ça.

38        Vous vous souvenez que le–le… Jésus a dit, dans Son sermon, que lorsque vous priez : “Notre Père qui es aux Cieux”… Et plus loin, Il a dit : “Si, de tout votre coeur, vous ne pardonnez pas à chacun ses offenses, votre Père Céleste ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.” Voyez? Il ne faut pas faire ça.

William Branham dans Questions et Réponses du 23 Décembre 1959

 

10Oct/15
Joyeux Noël

Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu!

98 Je dis ceci avec une grande joie dans mon coeur, pour Christ : Beaucoup d’entre eux dorment, aux alentours d’ici, dans des tombes marquées, ce soir, ils attendent cette grande résurrection où nous serons de nouveau réunis.
99 Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu! Si, un jour, cela arrive, alors, peu m’importe, votre pasteur aura beau être très éloquent, il aura beau apporter très bien la Parole de Dieu, l’Esprit de Dieu aura été attristé, Il s’en sera allé. Voyez? Quand nous pourrons tout partager dans la communion fraternelle, avoir tout en commun, et nous aimer les uns les autres, alors Dieu oeuvrera avec nous.
100 Alors nous indiquons l’heure, de sorte que les gens qui viendront, ils diront : “Si vous voulez voir une église qui est vraiment humble, une église qui aime vraiment Dieu, allez faire un tour au Tabernacle, là-bas, une fois, et observez. Voyez la sollicitude qu’ils ont les uns pour les autres, le respect; pendant qu’on prêche l’Évangile, comme ils sont respectueux; comme tout est en ordre.” Oui, alors on pourra regarder et voir à quelle heure nous vivons. Vous verrez l’Esprit de Dieu se mouvoir parmi vous : il se fera de grands signes et de grands prodiges, et tout. Si toute la chose oeuvre ensemble, elle indique l’heure. Mais si elle n’oeuvre pas comme ça, alors le temps s’arrête, elle n’indiquera plus l’heure. Donc, si nous voulons savoir à quelle heure nous vivons, que tout le monde se mette à oeuvrer ensemble dans l’Évangile, à s’aimer les uns les autres, à aimer Dieu, alors les aiguilles, elles-mêmes, indiqueront l’heure où nous vivons. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sûr. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, abondamment.

« Humile-Toi », 14 Juillet 1963, Extrait du Message de William Branham

27Août/15
Bible rayonnante

C’est le Parfait

5    L’Amour devrait gouverner le foyer. L’Amour est la puissance la plus forte mise à disposition de l’homme. Un–un foyer qui n’est pas discipliné par l’Amour n’est pas vraiment un foyer. Si le mari et la femme ne s’aiment pas profondément, ils ne peuvent pas avoir confiance l’un dans l’autre. C’est pourquoi je pense que au lieu de faire reposer notre foi sur quelque émotion (ce qui est en ordre), ou sur quelque don (ce qui est en ordre), comme crier ou parler en langues, ou d’autres choses que nous prenons pour–disant que nous avons reçu le Saint-Esprit lorsque nous faisons cela… Ces choses sont en ordre. Mais si nous voulions revenir à ce principe: L’Amour d’abord, ensuite les autres choses.
    Si nous faisions cela, notre église avancerait beaucoup plus rapidement, si nous prenions Dieu premièrement; car Dieu est Amour.

6    Maintenant, l’Amour a deux significations différentes, avec deux mots différents pour l’exprimer. En grec, une sorte d’amour est appelée phileo. C’est l’amour naturel que vous pouvez avoir pour votre femme; mais l’amour agapao veut dire amour divin. Bien l’amour que vous avez pour votre femme et l’Amour pour Dieu sont très opposés l’un à L’autre. Écoutez simplement ceci. L’amour que vous avez pour votre femme, si un homme l’insultait, vous le tueriez immédiatement, avec cette sorte d’amour phileo; mais avec l’amour agapao ou amour divin, vous prieriez pour l’âme perdue de cet homme. Voilà la différence.
    Il y a deux sortes d’amour. Et je suis presque sûr que beaucoup d’entre nous se sont trompés, ayant l’amour phileo, en pensant que c’était l’amour agapao. L’amour phileo est intellectuel, tandis que l’amour agapao vient du coeur. C’est l’amour humain, l’amour affectif, et l’Amour divin. L’amour agapao ne se pose pas de questions. L’amour humain raisonne toujours, l’amour divin ne le fait jamais! Il est parfait dans sa confiance. C’est le parfait… cela produit simplement la foi lorsque vous aimez réellement.

Extrait de la Brochure ‘Quand l’amour s’élance’, prêché le 06 Août 1957 par William Branham, traduction MS

22Août/15
Soif

Soif d’amour

73     C’est comme un jeune homme et une jeune femme. Bon, ce n’est pas inutile, ou ce n’est pas (je veux dire) anormal pour un jeune homme et une jeune femme de–de s’aimer. C’est une soif d’amour. C’est de leur âge, et ils–ils s’aiment. Et ce n’est pas quelque chose d’anormal, c’est tout simplement naturel chez eux.

74     Maintenant, nous voyons qu’il y a beaucoup de choses, dans la vie que nous menons dans ce corps naturel, dont nous avons soif. C’est simplement quelque chose qui est là, à l’intérieur de nous. Nous voulons faire ces choses, nous considérons vraiment que c’est nécessaire. Et c’est effectivement nécessaire que nous les fassions.

75     Nous voyons qu’il y a beaucoup de femmes, de nos jours, qui ont soif de beauté. Or, il n’y a pas une seule femme… C’est une chose naturelle chez la femme d’avoir soif d’être belle. Ça, c’est–c’est son instinct, que Dieu lui a donné, et–et sa beauté que Dieu lui a donnée pour son compagnon. Et donc, nous voyons que les femmes veulent être comme ça. Pourquoi donc? C’est simplement parce que c’est quelque chose que Dieu lui a donné. Que les femmes soient belles, il n’y a pas de mal à ça. Elles devraient l’être.

76     Et, vous savez, les seules créatures où–où la femelle est plus belle que le mâle, c’est dans la race humaine. Tous les autres animaux, prenez la–la vache et le taureau, la biche et le cerf, la poule et le coq, l’oiselle et l’oiseau, vous allez toujours constater que le mâle est grand et beau. Mais, dans la race humaine, preuve que c’est là qu’il y a eu la perversion, c’est le contraire; ce sont les femmes, alors, qui sont–sont belles, et elles ont soif d’être belles.

77     Pas comme certaines de ces créatures bizarres qu’on voit dans la rue aujourd’hui; non, non, pas cette sorte de beauté là. Non. Ça, c’est le spectacle le plus horrible que j’ai jamais vu de ma vie. Oui monsieur. Ça, c’est de la perversion, c’est de pervertir la vraie soif.

78     Or, la vraie soif qu’une femme devrait avoir, ce serait de “se vêtir d’une manière décente, et d’avoir un esprit semblable à celui de Christ”, I Timothée 2.9. Maintenant, la femme, c’est d’être comme ça qu’elle devrait avoir soif. Maintenant, si vous voulez être belles, c’est ça qui fait votre beauté, voyez-vous, c’est un esprit semblable à celui de Christ, et d’être vêtues d’une manière décente.

Extrait de la Prédication La Soif de William Branham,  prêchée le 19 Septembre 1965