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30Oct/17
Temps de Communnion Fraternelle

Le Juste

30    Alors Elihu a essayé de le reprendre. Eh bien, je vais apporter cela juste à la manière des enfants, ici. Eh bien, il a dit : «Job, tu observes ces fleurs. Elles sont dans la voie de Dieu; elles n’ont pas péché; il n’y a pas de péché en elles. Mais l’homme, lui, a péché, et c’est la raison pour laquelle tu ne le vois plus quand il meurt. Il va dans le shéol, ou plutôt-ou plutôt dans le Hadès, et tu ne le vois plus. Mais cependant, Job, Quelqu’un viendra, le Juste, Il se tiendra à la brèche, placera Ses mains et sur un homme pécheur et sur un Dieu saint, Il fera le pont et se tiendra à la place de l’homme et intercédera pour lui. Alors l’homme se relèvera

Et alors, Job, étant un prophète, entra en Esprit; les tonnerres commencèrent à gronder, les éclairs à jaillir. Job s’est tenu debout et a dit : «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’aux derniers jours, Il se lèvera sur la terre; quand bien même les vers qui sont dans mon corps auront détruit ce corps, cependant je verrai Dieu de mes propres yeux

Il était sûr qu’il viendra un jour de résurrection. «Dans les derniers jours», au pluriel (Voyez-vous?), pendant ces deux derniers mille ans : «Mon Rédempteur se lèvera sur la terre.»

Extrait de « Et c’est par égard pour lui seul », préché par William Branham le 18 Juillet 1952

23Avr/16
William Marrion Branham

La Colère est le Premier stade de la Folie

85 Maintenant ceci, je veux ajouter ceci pour–pour vous. Il était, cet homme était complètement livré au diable, au point que le diable parlait en utilisant sa langue. De même, vous pouvez être complètement livré à Dieu, au point que Dieu peut parler en utilisant votre langue. C’est vrai! C’est ce que j’affirme. Tous les sermons significatifs que j’ai prêchés, c’est quand je me suis livré, que j’ai enlevé William Branham du chemin, que Christ a pu prendre la place et se mettre à parler. Voyez? Et Il peut s’exprimer par le langage.

86        Maintenant remarquez. Il était tellement possédé par ce mauvais esprit, et cet esprit avait une telle emprise sur lui, que… Ces démons ont su que leur heure était arrivée, parce qu’ils avaient rencontré l’amour. Voyez? Et ils ont dit : “Nous allons le mettre à l’épreuve.” Et tout… Maintenant, remarquez ce qui s’est passé. Il a dit : “Mais, nous savons qui tu es. Comment se fait-il que tu sois dans un petit corps comme ça, dans un homme d’apparence si frêle?” Il a dit : “Comment se fait-il que tu te présentes comme ça?” Il a dit : “Nous savons qui tu es. Tu es le saint d’Israël, pourquoi est-ce que tu…?” (Maintenant regardez bien! Si vous ne croyez pas qu’il y a un tourment futur pour les démons, écoutez ceux-ci le confesser.) “Pourquoi viens-tu nous tourmenter avant que le temps soit venu?” Ils savent qu’il y a un tourment futur. “Pourquoi viens-tu nous tourmenter avant que le temps soit venu?” Voyez?

Jésus a dit : “Quel est ton nom?” Il le savait; Il voulait qu’eux-mêmes le confessent.

Il a dit : “Nous sommes Légion, car nous sommes nombreux.” Il a dit : “Si tu nous chasses hors de cet homme…”

87        Regardez, un petit homme frêle comme Jésus qui se tenait là (voyez?), avec un homme qui pouvait presque battre une armée; les chaînes n’arrivaient même pas à le retenir. Vous voyez, ce n’est pas la force physique. Ce n’est pas ça qui compte. Ce qui compte, c’est la puissance du Saint-Esprit qui est dans votre vie. Voyez?

88        Il a dit : “Ne nous tourmente pas avant que le temps soit venu; mais si tu nous chasses… (Regardez leur méchanceté, leur cruauté.) Si tu nous chasses, ne nous laisse pas aller librement dans le monde, parce que, qui sait où nous nous retrouverons, dans quelqu’un d’autre. Si tu nous chasses… Nous voulons être dans quelqu’un; nous voulons faire quelque chose; nous voulons faire d’autres actes de méchanceté.” Ça, c’est le diable. “Je lui rendrai la pareille.” [Frère Branham émet un grognement pour exprimer la méchanceté.–N.D.É.] Voyez? Ça, c’est le diable. “Il me le paiera cher.” Voyez? Souvenez-vous, c’est votre frère qui se tient là, mais il est sous l’emprise du diable. Voyez? “Faisons quelque chose de méchant. Nous pouvons faire payer ça aux Gadaréniens”, a peut-être dit le chef, l’un d’entre eux. Il a dit : “Envoie-nous dans ce troupeau de pourceaux.”

89        Jésus a dit : “Allez-y. Mais sortez de lui!” Oh! la la! Un petit bout d’homme comme ça, qui parle à cette grande légion de démons. “Sortez de lui! Allez-y.” Et ils sont entrés dans ces pourceaux, ceux-ci ont eu des crises, ils ont provoqué des crises chez ces pourceaux. Et ils se sont précipités dans le fleuve, et se sont noyés dans le fleuve, ils se sont étouffés dans le fleuve. Pas vrai?

90        Alors, à ce moment-là, bien sûr, les démons sont sortis d’eux, puisque les pourceaux ont été tués. Cela leur a provoqué une crise. Ils ont eu une crise, comme n’importe qui. Avez-vous déjà vu une personne piquer une crise de colère? Eh bien, c’est exactement–c’est exactement ça. Ce sont ces démons-là. C’est ça qui leur est arrivé. Si jamais vous voyez quelqu’un piquer une crise de colère, dites : “Ah oui, maintenant je sais ce qui s’est passé à Gadara.” Voyez? C’est exactement ça. Là il en était entré quelques-uns de plus, alors ils l’avaient rendu complètement fou; en effet, le médecin vous dira que la colère est le premier stade de la folie. C’est ce que Mayo dit : le premier stade de la folie.

91        Frère Pat, c’était peut-être tranchant. J’ai fait de mon mieux, c’était inattendu. Bien.

William Marrion Branham a préché le sermon « Questions et Réponses »  ( 23 Décembre 1959)

10Jan/16
Baptême, Lac Michigan Réveil

Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode

E-139 La grande dénomination tomba. Ça a toujours été ainsi quand Dieu entre en action, les autres choses tombent. Ce fut alors la plus grande victoire de Samson. Oh ! je souhaiterais voir l’Eglise du Dieu vivant se lever ce soir :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois. Envoie-nous un réveil, qu’il me coûte le tout ; qu’il me coûte tout ce que j’ai, envoie-moi un réveil. Envoie-le sur moi, Seigneur.  » Ecoute ce groupe d’environ trois cent personnes ou plus crier ici ce soir, à l’unisson :  » Seigneur Dieu, encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Laisse-moi reconnaître qu’Il est près de moi. Laisse-moi savoir qu’Il est ici pour prendre soin de moi. Je suis disposé maintenant.  »
E-140 Oh ! rendez-vous (compte), tous les ennemis étaient détruis. Les pentecôtistes se tiennent à ce poteau-là ce soir. Nous sommes nés pour détruire, ces choses, elles ont pris le dessus. Repentez-vous, criez à haute voix :  » Seigneur, encore une fois ; encore une fois, laisse-nous voir cela.  »
E-141 Laissez-moi dire ceci, mon ami. Vous feriez mieux de détruire votre ennemi avant que votre ennemi vous détruise. Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode, la repentance à l’ancienne mode, quand on restait à l’autel jusqu’à ce qu’on meurt et qu’on en ait fini avec le péché. On ne voyait jamais une femme allait à l’autel, mourir au péché, et le lendemain, revenir avec des cheveux coupés et du maquillage au visage. Cela n’existe pas. Le Saint-Esprit enseigne, la nature enseigne, la nature du Saint-Esprit. On ne voyait jamais des femmes sortir en sexy, elle rentraient et cherchaient à se couvrir. On ne voyait jamais des hommes avoir peur de se lever et craindre que sa petite femme le quitte l’une ou l’autre chose, pour avoir pris l’initiative. Eh bien, les hommes étaient des hommes à l’époque. Ils parlaient, ils étaient des hommes ; ils étaient maîtres chez eux. Ils étaient les chefs de la maison. Mais cet Américain raffiné.

E-142 J’ai appris il n’y a pas longtemps d’un petit érudit Grec, il est assis ici à me regarder maintenant, il vient de la Grèce, c’est un érudit en grec, il s’est mis à jouer mes bandes et il a suivi le Message. Il a dit :  » Je sais que vous n’avez même pas l’instruction, mais, Frère Branham, vos termes et votre Message sont en parfaite harmonie avec l’interprétation grecque de la Bible.  » Il a dit :  » C’est tout à fait exact. Ce que vous avez dit est tout à fait exact.  » Et il est venu vers moi, il me disait :  » Laodicée signifie,  » femme  » en grec. C’est le monde de la femme.  » C’est l’église de la femme.  » C’est l’âge de la femme. Plusieurs hommes voulaient… Quand est-ce que Dieu s’est jamais retrouvé dans cette condition-là ? Oui, êtes-vous prêt à ramener un réveil ? Etes-vous prêt ?

E-143 Une femme disait :  » J’ai le droit de faire ce que je veux. C’est mon privilège d’Américaine.  » C’est votre privilège d’Américaine ; ce n’est cependant pas un privilège que Dieu vous a donné. Une brebis… Une chèvre s’agitera toujours, mais une brebis se tiendra tranquille et abandonnera ses droits. Voyez ? Si vous êtes un véritable enfant de Dieu, vous abandonnerez vos droits d’Américain au Saint-Esprit, vous Le laisserez vous modeler et faire de vous ce que vous devriez être.  » Encore une fois, Seigneur.  » Oh ! la la !
E-144 Oh ! Eglise, abandonnez la Délila d’Hollywood ; elle va vous tuer. Elle fera sortir la vie spirituelle de vous en vous suffoquant. Abandonnez-la. Vos mises en scène d’Hollywood sur l’estrade. Votre Hollywood, vos clinquants, notre réunion ressemble en grande partie au reste du monde ; ce qu’on a dans les plus grandes églises. Un évangéliste va dans une ville, vous devez lui promettre beaucoup d’argent sinon, il ira pas là. Comme c’est ridicule ! Cela montre là où se trouve votre trésor, c’est là que se trouve votre cœur. Tournez-vous de tout votre cœur vers Dieu et vers Sa Parole, et crions :  » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois, manifeste Ta Présence. « 

Extrait de la brochure « Encore une fois seulement, Seigneur », prêchée par William Branham  le 20 Janvier 1963

31Déc/15
un sermon vécu vaut mieux qu'un sermon prêché

Un sermon vécu vaut mieux qu’un sermon prêché

1.  Inclinons la tête juste un instant. Notre Bienveillant Père céleste, nous sommes très heureux ce soir d’avoir cette communion ensemble, et du fait que Tu nous as rassemblés. Ce merveilleux cantique a vraiment ravi nos cœurs : « Le Puissant Conquérant. » Nous sommes très heureux de savoir qu’Il est ici ce soir pour déchirer tout voile qui est entre Lui et nous. Ô Dieu, je Te prie d’ôter, des yeux des gens, tout voile de ténèbres ce soir, et que ce voile soit déchiré en deux, de sorte que les gens voient le Seigneur Jésus dans Sa puissance.
Que le pécheur vienne, se prosterne et se repente de ses péchés. Que le rétrograde se fraye un chemin vers la Maison ce soir. Que le voile s’enlève pour lui aussi. Et pour les pauvres, les malades et les nécessiteux, que le voile soit aussi déchiré pour eux. Et puisse ceci être la soirée de grande joie, car nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Unique et Bien-aimé Fils, Jésus-Christ. Amen.

2.  C’est vraiment un privilège pour moi ce soir! Je suis venu tôt pour suivre ce merveilleux cantique. Généralement, je ne fais pas ça. Et – et j’ai apprécié le ministère de mon frère Bosworth : sa prédication, son enseignement, il est… il enseignait cet Evangile alors que j’étais un – probablement avant ma naissance. Et je… Ça me fait du bien de l’entendre, ô comme il peut toujours lier Satan par les Ecritures et…
Je l’ai suivi dans des discussions, des débats, et je vous assure qu’il prêche la Parole de telle manière que le – Satan ne peut absolument pas rester là où il se tient. Et quant à la voix, il n’a certainement pas une voix forte, peut-être, comme certains, mais il sait certainement de quoi il parle. Et c’est depuis plusieurs années que je connais frère Bosworth, et je sais que sa vie… Ce n’est pas étonnant que Dieu exauce ses prières, il vit ce dont il parle. Vous savez, un sermon vécu vaut mieux qu’un sermon prêché. Vivez-moi un sermon, c’est de loin mieux.

Extrait de « Ayez bon courage » de William Branham, prêché le 21 Juillet 1954

28Oct/15
Responsabilité, Faire face, foumi

Faire face

46     Et ici, Jonas, un des petits prophètes de la Bible, a été appelé à descendre dans cette ville.
Et là, on voit un exemple de nous tous. Chacun d’entre nous, on fuit toujours quelque chose. On fuit les difficultés. On fuit les responsabilités. On–on a tous tendance à faire ça. On–on est, on est plus portés à fuir qu’à rester là et à faire face. Vous voyez, c’est simplement qu’on… on–on–on se met à fuir.
Des fois, on est portés à fuir le travail. On ne veut pas, on ne veut pas travailler. Il y a des gens qui s’imaginent simplement qu’ils peuvent gagner leur vie sans travailler. Mais, je pense, c’est Salomon qui a dit que c’est là qu’on peut trouver la réponse, en observant une fourmi.

47     Vous savez, une petite fourmi, on m’a dit que si cette fourmi (chacune), si elle ne travaille pas pour faire des provisions, cette fourmi ne mange pas non plus, cet hiver-là. Alors chacun doit-doit travailler.

48     On a tellement de choses qu’on doit faire, tellement de responsabilités auxquelles on doit faire face. Tout le monde doit faire face à une certaine responsabilité.

William Branham dans la prédication « Un Homme qui fuit la face de l’Eternel », 17 Février 1965

 
25Oct/15
Soif

Que rien ne vous arrête

28     Mais mon point de vue est celui-ci: lorsque vous essayez de faire ce qui est juste, la première chose que vous faites est de sentir si vous êtes conduits à faire cette chose; ensuite vous vérifiez avec la Parole pour voir si c’est en accord avec Elle; alors que rien ne vous arrête. Peu m’importe combien de bâtons le diable va vous jeter dans les roues, passez simplement par-dessus tout cela.

William Branham, extrait de « Honteux de Lui », prêché le 11 Juillet 1965, Traduction MS

08Oct/15
Seigneur, pardonne-moi

Faites tout ce que vous pouvez faire

25     Tenez! Il n’y a pas longtemps en Suisse, pendant que je me tenais là, dans les hautes montagnes des Alpes, je pensais à Arnold Von Winkelried. Beaucoup d’entre vous connaissent l’histoire. Quel vaillant héros il a été en Suisse, il y a bien des années. Et voir comment la nation Suisse était envahie par une puissante armée et comment les villes étaient prises. Et les Suisses au sang noble s’étaient rassemblés, depuis les montagnes jusque dans la vallée, munis de toutes petites armes autant qu’ils pouvaient en avoir pour pouvoir se défendre.
    Et pendant qu’ils étaient là sur le champ de bataille, ils les voyaient s’approcher, et pendant qu’ils s’approchaient de cette grande armée, celle-ci était cinquante fois plus nombreuse qu’eux. Et ils étaient – ils n’étaient pas des soldats, ils n’avaient pas été entraînés. Ils ne savaient que faire. Mais cette armée qui envahissait était bien entraînée, ils venaient tous comme un mur en briques.

26     Et pendant qu’ils étaient là, avec leurs lances, en train d’avancer, un grand homme, Arnold Von Winkelried, surgit là. Et, au moment où il se présenta là devant eux, ils étaient désespérés; tout ce à quoi ils pouvaient penser était perdu. Ils allaient simplement s’incliner et perdre leurs maisons. Leurs familles allaient être tuées. Leur patrie allait être détruite. Il n’y avait rien qu’ils pouvaient faire, la situation était désespérée.
    Alors Arnold Von Winkelried surgit et dit: « Mes frères Suisses, aujourd’hui, je vais donner ma vie pour la Suisse ainsi que pour la patrie. »
    On lui demanda: « Que vas-tu faire? »
    Il répondit: « Là, au fond de la vallée, se trouve une belle petite maison où ma femme et mes petits enfants attendent mon retour, mais ils ne me verront plus jamais, car aujourd’hui, je vais donner ma vie pour mon pays. »
    Et quand il fit cette déclaration, ils lui demandèrent: « Que vas-tu faire? »
    Et il répondit: « Maintenant, vous tous qui avez des armes, venez, suivez-moi et faites le mieux que vous pouvez. Combattez avec ce que vous avez. Faites tout ce que vous pouvez faire avec ce que vous avez.

27     Et il poussa un cri, projeta son arme en l’air et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il fonça vers cette armée-là et il alla tout droit là où il y avait beaucoup plus de lances. Et quand il descendit jusqu’à l’endroit où ils étaient, où des centaines de lances brillantes pouvaient l’atteindre pendant qu’il avançait, il leva ses mains et dit: « Frayez la voie à la liberté. » Et il saisit à pleins bras ces lances et les enfonça dans sa poitrine. Et chacun de ces soldats suisses le suivait derrière. Il rompit les rangs de l’ennemi et ils remportèrent une victoire comme ils n’en avaient jamais remporté une auparavant.
    Et aujourd’hui, si vous citez son nom en Suisse, leurs yeux se rempliront de larmes et leurs joues rougiront à cause de leur héros. A mon avis, c’était l’un des plus grands héros qui eut existé dans l’histoire de l’armée. Mais ce n’est qu’une petite chose, juste une toute petite chose. Un jour, les fils d’Adam se tenaient là, vaincus; la loi, les prophètes et tout avaient failli. Toute approche que nous avions essayée avait totalement échoué. Et là dans la gloire, il y eut Quelqu’un, appelé Fils de Dieu, qui surgit et les Anges Lui demandèrent: « Que vas-Tu faire? »
    Il répondit: « Je vais descendre et Je vais donner Ma vie. Et aujourd’hui, Je vais racheter les fils déchus d’Adam. »

28     Et Il vint au Calvaire. Il alla là où il y avait beaucoup plus de lances. Il traversa la vallée de l’ombre de la mort, et attrapa tous les traits du diable, et les enfonça dans Son propre sein et Il demanda à l’ Église de prendre ce qu’Elle a et de faire le mieux qu’Elle peut. Gloire à Dieu! Au jour de la Pentecôte, un puissant vent impétueux descendit des cieux et dota chaque homme d’une arme.
    Et je dis aujourd’hui, mes frères, que tout homme, peu importe ce que vous avez, faisons le mieux que nous pouvons avec ce que nous avons, et combattons jusqu’au dernier homme parce que nous avons rompu les rangs de l’ennemi. Christ a vaincu Satan, Il l’a dépouillé de tout ce qu’il ait jamais eu, et aujourd’hui il n’est qu’un bluffeur. Tandis qu’il vous dit que nous ne pouvons pas avoir une autre effusion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, une effusion de l’Esprit, nous pouvons bien en avoir une aujourd’hui parce que les rangs de l’ennemi sont rompus et Dieu domine et règne aujourd’hui. Alléluia! Je suis heureux pour une expérience à l’ancienne mode du Saint-Esprit du Dieu Vivant.

Extrait du Sermon « Le Jubilé d’Azusa », prêché le 16 Septembre 1956 par William Branham, traduction SHP