Tout est possible, crois seulement.
57 Oh, mes chers amis de partout dans ce pays et dans cette petite ville, si seulement, avec ma voix humaine, je pouvais placer dans votre coeur l’importance de recevoir le baptême du Saint-Esprit, ce serait la plus glorieuse révélation que vous ayez jamais eue de votre vie. De voir ce que… Vous n’avez pas le choix.
Je vais éclaircir ce point-là : “Vous n’êtes pas convertis.”
58 Pierre avait été sauvé. Il croyait au Seigneur, il Le suivait. Jésus lui avait dit qui il était, Il l’avait amené à Le suivre. Il lui avait donné le pouvoir sur les esprits impurs et Il l’avait sanctifié. Mais après tout ça, et il était devenu le porte-parole en chef du groupe; comme les catholiques voudraient l’appeler, “l’évêque de l’église, ou le pape”, ou quoi que ce soit, le chef de l’église; pourtant Jésus a dit, la nuit où Il a été livré : “M’aimes-tu, Pierre?”
Et il a dit : “Seigneur, Tu sais que je T’aime.”
Il a dit : “Pais Mes brebis.” Il a dit ça trois fois.
Et Pierre a dit : “Tu sais que je T’aime, au point de Te suivre jusqu’à la–la fin, et de Te suivre jusqu’à la mort”, et ainsi de suite.
59 Il a dit : “Avant que le coq ait chanté trois fois, tu… avant que le coq chante, tu M’auras renié trois fois.” Il a dit : “Mais, Pierre, J’ai prié pour toi.” Écoutez. Ce n’est pas tout. “J’ai prié pour toi. Et une fois que tu seras converti, alors affermis tes frères.”
“Une fois que tu seras converti.” Il avait crié. Il avait probablement dansé par l’Esprit. Il–il avait fait toutes sortes de choses, mais il n’avait pas encore reçu le Saint-Esprit. “Une fois que tu seras converti, alors affermis tes frères,” c’est vrai, “exécute Son plan.”
Extrait de « Pourquoi le Saint-Esprit a-t-il été donné? » a été prêchée par William Branham le 17 Décembre 1959
8 Et j’essaie de ne pas…j’essaie de–de ne pas trop en parler, vous savez, en présence de gens qui se plaignent. Parce que je pense que l’une des choses les plus horribles, c’est de voir un–un homme ou une femme qui se plaint constamment. J’ai toujours pensé: “Ô Dieu, garde-moi d’être comme ça.” Voyez, cela–cela affaiblit continuellement la foi, vous savez. C’est que vous–que vous…si vous–si vous… Je sais qu’en vieillissant, chacun d’entre nous, des choses et encore des choses vont nous arriver. Et je sais que ces petites choses vont continuer à s’accumuler – en vieillissant, c’est inévitable. Mais je pense que l’une des choses les plus horribles, c’est que Satan couronne la vie de quelqu’un: un vieux grincheux, ou une vieille grincheuse, vous voyez. Je–j’espère ne pas en arriver là. J’espère pouvoir supporter ces choses, mes fardeaux, et–et arriver à ce que…je veux que ma vie soit couronnée de la Gloire de Dieu: Sa patience, Sa bonté, Sa paix, Sa douceur, et qu’elle soit remplie du Saint-Esprit.
Extrait de « Le Temps de l’union et son signe » apporté le 18 Août 1963 par William Branham
5 Maintenant, nous essayons de placer les réunions dans le meilleur cadre possible. Nous ne nous spécialisons pas dans la guérison divine, comme on dit, parce que la guérison divine n’est pas le plus important. Et vous ne pouvez pas mettre en avant le moins important, nous savons cela. La grande chose donc que nous recherchons dans tout réveil, c’est premièrement d’amener les âmes perdues à Christ, et de réveiller l’église, la ramenant à un état spirituel, là où elle doit être, une communion intime avec Dieu. Troisièmement, de susciter la communion entre les églises; et quatrièmement, de prier pour les malades. C’est notre but, c’est ce que nous essayons de faire.
6 Ce sont les pécheurs d’abord, la communion entre les églises, et une marche intime entre l’église et Dieu, et ensuite la prière pour les malades.
Prédication « Parle à cette Montagne » du 23 Novembre 1959
Toujours par un prophète, Tu conduis Israël, et par ce même prophète, Il le garde dans Sa main.
C’est le refrain du cantique que chante Frère Robert BUHUMU lors d’une visite à Grâce Tabernacle de Bruxelles.
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