16 La guérison divine, les concerts musicaux, toutes ces choses sont juste un… Comme frère Bosworth le disait, c’est l’appât à l’hameçon. Et vous montrez au poisson l’appât, et non l’hameçon.
Et c’est ce qu’il faut pour amener les gens à écouter un moment, jusqu’à ce que vous puissiez vraiment leur présenter votre Message. Dieu a fait cela dans chaque âge; dans chaque âge, il y a toujours eu une campagne de guérison. Et si c’est une véritable campagne de guérison, il y a toujours un Message qui suit cette campagne. Il n’y a jamais eu un signe qui soit donné juste comme ça; c’est un signe précurseur d’un Message.
17 Et je crois que la même chose est… il y a dix-sept ans, ou dix-huit ans maintenant, que le Seigneur m’a envoyé pour prier pour les malades. Cela a suscité un grand réveil parmi les gens. Beaucoup de grands serviteurs de Dieu se sont lancés dans des campagnes de guérison, et… Mais les campagnes de guérison en soi, si vous continuez dans la même vieille tendance dans laquelle vous avez toujours été, il y a quelque chose de faux, cette campagne de guérison ne vient pas de Dieu. Cela doit premièrement attirer l’attention, vous voyez, attirer l’attention, et ensuite vient un Message.
Un Paradoxe prêché le 17 Janvier 1965, traduction SHP