E-139 La grande dénomination tomba. Ça a toujours été ainsi quand Dieu entre en action, les autres choses tombent. Ce fut alors la plus grande victoire de Samson. Oh ! je souhaiterais voir l’Eglise du Dieu vivant se lever ce soir : » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois. Envoie-nous un réveil, qu’il me coûte le tout ; qu’il me coûte tout ce que j’ai, envoie-moi un réveil. Envoie-le sur moi, Seigneur. » Ecoute ce groupe d’environ trois cent personnes ou plus crier ici ce soir, à l’unisson : » Seigneur Dieu, encore une fois, laisse-moi voir Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Laisse-moi reconnaître qu’Il est près de moi. Laisse-moi savoir qu’Il est ici pour prendre soin de moi. Je suis disposé maintenant. »
E-140 Oh ! rendez-vous (compte), tous les ennemis étaient détruis. Les pentecôtistes se tiennent à ce poteau-là ce soir. Nous sommes nés pour détruire, ces choses, elles ont pris le dessus. Repentez-vous, criez à haute voix : » Seigneur, encore une fois ; encore une fois, laisse-nous voir cela. »
E-141 Laissez-moi dire ceci, mon ami. Vous feriez mieux de détruire votre ennemi avant que votre ennemi vous détruise. Ramenez les réunions de prière à l’ancienne mode, la repentance à l’ancienne mode, quand on restait à l’autel jusqu’à ce qu’on meurt et qu’on en ait fini avec le péché. On ne voyait jamais une femme allait à l’autel, mourir au péché, et le lendemain, revenir avec des cheveux coupés et du maquillage au visage. Cela n’existe pas. Le Saint-Esprit enseigne, la nature enseigne, la nature du Saint-Esprit. On ne voyait jamais des femmes sortir en sexy, elle rentraient et cherchaient à se couvrir. On ne voyait jamais des hommes avoir peur de se lever et craindre que sa petite femme le quitte l’une ou l’autre chose, pour avoir pris l’initiative. Eh bien, les hommes étaient des hommes à l’époque. Ils parlaient, ils étaient des hommes ; ils étaient maîtres chez eux. Ils étaient les chefs de la maison. Mais cet Américain raffiné.
E-142 J’ai appris il n’y a pas longtemps d’un petit érudit Grec, il est assis ici à me regarder maintenant, il vient de la Grèce, c’est un érudit en grec, il s’est mis à jouer mes bandes et il a suivi le Message. Il a dit : » Je sais que vous n’avez même pas l’instruction, mais, Frère Branham, vos termes et votre Message sont en parfaite harmonie avec l’interprétation grecque de la Bible. » Il a dit : » C’est tout à fait exact. Ce que vous avez dit est tout à fait exact. » Et il est venu vers moi, il me disait : » Laodicée signifie, » femme » en grec. C’est le monde de la femme. » C’est l’église de la femme. » C’est l’âge de la femme. Plusieurs hommes voulaient… Quand est-ce que Dieu s’est jamais retrouvé dans cette condition-là ? Oui, êtes-vous prêt à ramener un réveil ? Etes-vous prêt ?
E-143 Une femme disait : » J’ai le droit de faire ce que je veux. C’est mon privilège d’Américaine. » C’est votre privilège d’Américaine ; ce n’est cependant pas un privilège que Dieu vous a donné. Une brebis… Une chèvre s’agitera toujours, mais une brebis se tiendra tranquille et abandonnera ses droits. Voyez ? Si vous êtes un véritable enfant de Dieu, vous abandonnerez vos droits d’Américain au Saint-Esprit, vous Le laisserez vous modeler et faire de vous ce que vous devriez être. » Encore une fois, Seigneur. » Oh ! la la !
E-144 Oh ! Eglise, abandonnez la Délila d’Hollywood ; elle va vous tuer. Elle fera sortir la vie spirituelle de vous en vous suffoquant. Abandonnez-la. Vos mises en scène d’Hollywood sur l’estrade. Votre Hollywood, vos clinquants, notre réunion ressemble en grande partie au reste du monde ; ce qu’on a dans les plus grandes églises. Un évangéliste va dans une ville, vous devez lui promettre beaucoup d’argent sinon, il ira pas là. Comme c’est ridicule ! Cela montre là où se trouve votre trésor, c’est là que se trouve votre cœur. Tournez-vous de tout votre cœur vers Dieu et vers Sa Parole, et crions : » Encore une fois, Seigneur. Encore une fois, manifeste Ta Présence. «
Extrait de la brochure « Encore une fois seulement, Seigneur », prêchée par William Branham le 20 Janvier 1963
Vraiment je l’aime tant!