128 Les enfants d’aujourd’hui ont besoin d’un copain. S’ils avaient une mère et un père qui restent à la maison et qui s’occupent d’eux plutôt que d’aller dans un bar, là-bas, sortir toute la nuit et autres choses du genre, il n’y aurait pas–il n’y aurait pas de délinquance juvénile. Voyez?
129 Ils se sont éloignés de la Bible; ils sont tous allés à l’église et ils ont fait des parties de loto et autres choses du genre, et… Voyez? Vous essayez de vous moderniser, d’être comme le terrain de Satan, là-bas à Hollywood. Vous ne pourrez jamais amener Hollywood dans l’église, vous devez… je veux dire amener l’église dans Hollywood, vous devez amener Hollywood sur votre terrain à vous. Voyez? Pas aller sur leur terrain à eux, mais que, eux, ils viennent de ce côté-ci. Nous possédons quelque chose dont ils ignorent tout.
130 Alors, nous nous sommes agenouillés là, et nous avons remis la chose à Dieu. J’ai dit : “Je sais qu’elle a dix-huit ans, elle les aura dans quelques jours, et elle… et une jeune fille de cet âge-là pense aux garçons, et nous l’avons gardée à la maison.” J’ai dit : “Je–je n’ai jamais voulu la voir mariée. Je veux la faire travailler ici dans le bureau. Je veux la voir remplie de l’Esprit et–et–et vivre comme ça.”
Et elle… Eh bien, c’est ce que nous voulions tous. Elle a dit : “Eh bien, nous ne pouvons pas faire ça.” Elle a dit : “Elle ne veut rien entendre.”
131 J’ai dit : “Attends une minute! Nous avons fait tout notre possible pour bien l’élever; maintenant, remets-la dans les mains de Dieu, confie-la-Lui.” Et j’ai dit : “Puis, quand elle fera quelque chose, dis : ‘Becky, ma chérie, maman ne veut pas que tu fasses ça, mais je suis ta copine; je ne te laisserai pas tomber.’ Tu vois? Fais-lui savoir que tu l’aimes. Elle va chercher quelqu’un qui l’aime, et il se pourrait que ce ne soit pas la femme qu’il faut.” Voyez? J’ai dit : “Que ce soit toi, la femme qui l’aime.” J’ai dit : “Chérie, ça peut sembler assez direct, ça, mais les gens viennent de partout pour avoir un entretien particulier, et tout.” J’ai dit : “Je suis si ordinaire; nous sommes ordinaires l’un pour l’autre, parce que nous sommes mari et femme; mais nous ne laisserons jamais une telle chose arriver. Il faut te souvenir que ceci, c’est au Nom du Seigneur!”
Alors, elle a dit : “Très bien.”
Nous nous sommes agenouillés, et nous avons remis la chose à Dieu. Nous avons dit que nous allions laisser ça tranquille.
Cet après-midi-là, quand elle est arrivée, elle a dit : “Eh bien, je suppose que tu dis encore que je ne peux pas aller là-bas!”
132 Méda a dit : “Non, je n’ai pas dit un mot là-dessus.” Elle a dit : “Tu sais, maman ne veut pas que tu fasses ça; et tu sais que ça a arraché le coeur de ton papa de t’entendre, là-bas, jouer ce boogie-woogie, ou cette musique-là, avec cette fille.” Elle a dit : “Bon, il ne voulait pas que tu fasses ça, et nous ne voulons pas que tu le fasses, Becky, mais nous avons simplement remis la chose au Seigneur. Je veux que tu saches que nous t’aimons. Quoi que tu fasses, nous t’aimons quand même.”
Elle a dit en criant : “J’y vais quand même!”
Elle a dit : “Très bien, ma chérie.” Alors elle a continué son chemin. Elle a dit : “Très bien, ton souper sera prêt quand tu reviendras.” Elle n’y est jamais allée! Non, elle n’y est jamais retournée depuis. Voyez?
133 Peu de temps après, elle a rencontré Georges; Georges est un Chrétien. Avec ça–avec ça, c’était réglé.
134 Elle essayait de raconter ça à Mme Wood, l’autre jour. Elle disait : “Oh, j’étais vraiment déchaînée!” Elle disait : “Papa et maman m’ont confiée au Seigneur.” Elle disait : “Vraiment déchaînée.” Mais, pour nous, ça–ça l’était, déchaîné; on ne voudrait vraiment pas quelque chose de plus déchaîné que ça. Voyez? Que ça s’arrête là. Bien.
Questions et Réponses n°1 du 23-08-1964, prêché par William Branham